A présent, je m’en voulais déjà d’avoir manifestement et aussi rapidement admis que le Maroc allait devenir pour moi une chimère inatteignable. Un passé encore très présent certes, mais il ne fallait plus rêver de pouvoir y retourner. Si ce n’était en vacances. Vœu perpétuel et mensonge conscient. Juste le temps adoucir la rupture et tuer l’angoisse du départ.
Alors, là ou ailleurs il faudra bien s’adapter, se « caméléoniser » au pays, à ces gens, à tout, et à l’école que je devais découvrir au plus vite.
Après renseignement, elle était tout proche, j’irai à pied le matin, pas demain, mais après-demain, l’instituteur m’attendait. J’étais inscrit à l’école communale du village.
Je n’arrivais à croire que l’école fut toute proche ! Cette situation pittoresque me paraissait inimaginable et impossible à admettre. Cela n’allait pas durer, c’était trop beau ! Cela va changer bientôt. Juste le temps de se fixer un peu, et hop ! Je serai à nouveau pensionnaire quelque part par là. Un peu loin ! Pas trop prés non plus. Juste assez loin pour ne pas trop les déranger !
Voila sans aucun doute possible ce que l’avenir me promettait de mieux dans son grand livre ou tout était écris. Cela avait toujours été comme cela avant, et je ne vois pas ce qui pourrait changer maintenant !
En attendant, certain du sort qui m’attendait, je vais profiter de cette école, et au bref répit de ma transhumance sans doute déjà programmée, pour bien travailler et rattraper mon retard.
Le lendemain de notre arrivée, mon père tenta de piquer notre curiosité à l’idée d’aller voir notre future maison, mais toute sa passion fut vaine. Ni moi, ni ma mère ne semblaient répondre à son excitation bien trop feinte. Sans enthousiasme, nos pas nous ont menés à Serres, ce n’était pas loin.
« Elle est où la maison ? ».
Le nez à travers des barreaux d’un portail délabré, je venais de questionner mon père.
« Là devant ! Voyons c’est assez visible. »
« Moi je ne vois que des ronces et des arbres partout ! » répliqua ma mère, un tantinet exaspérée.
« La maison est sous les ronces, un petit coup de nettoyage et elle sera habitable !
« ……………………….. » !
Il n’eut pas le temps de placer un autre mot, pas même une syllabe, que sitôt ma mère le fusilla sur place !
« Et tu nous as fait quitter le Maroc pour ça ! »
« Tu ne changeras jamais ! Après la baraque en planche de Timexaouine, on repart encore une fois à zéro! J’en ai marre ! »
Je ne compris pas tous les mots qui suivirent, certains appellent cela un chapelet d’amabilités. Sitôt sa poésie terminée elle s’engouffra dans la voiture, suivi de son fiston qui lui aussi comme un grand voulait étaler toute sa désapprobation, les bras croisés et la mine grise !
La maison se camouflait habillement sous les ronces aux yeux et aux sarcasmes des passants depuis plus de dix ans. Emprisonnée presque jusqu’au toit, d’où timidement se dévoilait une cheminée. Elle lançait désespérément depuis ce temps un SOS aux passants moqueurs.
Sa détresse était telle que nous n’avons pas pu y entrer pour débroussailler la cour par l’entrée. Dés le lendemain, c’est depuis chez le voisin que nous avons entamé le travail de reconquête de cette maison oubliée de tous.
Une maison d’un étage, une maison abandonnée que plus personne ne voulait au village. Mais pour un pied noir aux abois elle fera bien l’affaire. Et puis il n’y avait pas le choix alors ! Il prendra ce qu’il trouvera !
Bien plus tard, nous apprendrions que le prix exorbitant qu’avait du débourser mon père pour l’acheter, avait été calculé spécialement pour un pied noir «sans doute plein aux as ».
Ils l’ont regrettés, m’ont-ils dit un jour, mais bien plus tard, au moins dix ans plus tard ! Le temps de passer du sobriquet méfiant de Pied Noir, parfois même d’arabe, à celui de Maurice, Patrick, ou Marie Louise !
« Quand tu n’as pas le choix, le commerce se fait sur ton dos. » constata mon père. Mais moi je sais que lui n’aurait jamais accepté de profiter d’une telle situation pour s’enrichir et profiter du malheur des autres. Il était bien trop épris de justice et d’humanisme pour imaginer un seul instant cela. Mais voila, nous étions en France et il fallait bien s’adapter. S’adapter, s’adapter, notre maître mot à tous ….sauf à ma mère. C’est la France qui s’adapterait à elle ou sinon tant pis. Comme ni l’une ni l’autre ne firent le premier pas, elles vivront toutes les deux jusqu’à la fin, dans une totale ignorance l’une de l’autre.
Alors, là ou ailleurs il faudra bien s’adapter, se « caméléoniser » au pays, à ces gens, à tout, et à l’école que je devais découvrir au plus vite.
Après renseignement, elle était tout proche, j’irai à pied le matin, pas demain, mais après-demain, l’instituteur m’attendait. J’étais inscrit à l’école communale du village.
Je n’arrivais à croire que l’école fut toute proche ! Cette situation pittoresque me paraissait inimaginable et impossible à admettre. Cela n’allait pas durer, c’était trop beau ! Cela va changer bientôt. Juste le temps de se fixer un peu, et hop ! Je serai à nouveau pensionnaire quelque part par là. Un peu loin ! Pas trop prés non plus. Juste assez loin pour ne pas trop les déranger !
Voila sans aucun doute possible ce que l’avenir me promettait de mieux dans son grand livre ou tout était écris. Cela avait toujours été comme cela avant, et je ne vois pas ce qui pourrait changer maintenant !
En attendant, certain du sort qui m’attendait, je vais profiter de cette école, et au bref répit de ma transhumance sans doute déjà programmée, pour bien travailler et rattraper mon retard.
Le lendemain de notre arrivée, mon père tenta de piquer notre curiosité à l’idée d’aller voir notre future maison, mais toute sa passion fut vaine. Ni moi, ni ma mère ne semblaient répondre à son excitation bien trop feinte. Sans enthousiasme, nos pas nous ont menés à Serres, ce n’était pas loin.
« Elle est où la maison ? ».
Le nez à travers des barreaux d’un portail délabré, je venais de questionner mon père.
« Là devant ! Voyons c’est assez visible. »
« Moi je ne vois que des ronces et des arbres partout ! » répliqua ma mère, un tantinet exaspérée.
« La maison est sous les ronces, un petit coup de nettoyage et elle sera habitable !
« ……………………….. » !
Il n’eut pas le temps de placer un autre mot, pas même une syllabe, que sitôt ma mère le fusilla sur place !
« Et tu nous as fait quitter le Maroc pour ça ! »
« Tu ne changeras jamais ! Après la baraque en planche de Timexaouine, on repart encore une fois à zéro! J’en ai marre ! »
Je ne compris pas tous les mots qui suivirent, certains appellent cela un chapelet d’amabilités. Sitôt sa poésie terminée elle s’engouffra dans la voiture, suivi de son fiston qui lui aussi comme un grand voulait étaler toute sa désapprobation, les bras croisés et la mine grise !
La maison se camouflait habillement sous les ronces aux yeux et aux sarcasmes des passants depuis plus de dix ans. Emprisonnée presque jusqu’au toit, d’où timidement se dévoilait une cheminée. Elle lançait désespérément depuis ce temps un SOS aux passants moqueurs.
Sa détresse était telle que nous n’avons pas pu y entrer pour débroussailler la cour par l’entrée. Dés le lendemain, c’est depuis chez le voisin que nous avons entamé le travail de reconquête de cette maison oubliée de tous.
Une maison d’un étage, une maison abandonnée que plus personne ne voulait au village. Mais pour un pied noir aux abois elle fera bien l’affaire. Et puis il n’y avait pas le choix alors ! Il prendra ce qu’il trouvera !
Bien plus tard, nous apprendrions que le prix exorbitant qu’avait du débourser mon père pour l’acheter, avait été calculé spécialement pour un pied noir «sans doute plein aux as ».
Ils l’ont regrettés, m’ont-ils dit un jour, mais bien plus tard, au moins dix ans plus tard ! Le temps de passer du sobriquet méfiant de Pied Noir, parfois même d’arabe, à celui de Maurice, Patrick, ou Marie Louise !
« Quand tu n’as pas le choix, le commerce se fait sur ton dos. » constata mon père. Mais moi je sais que lui n’aurait jamais accepté de profiter d’une telle situation pour s’enrichir et profiter du malheur des autres. Il était bien trop épris de justice et d’humanisme pour imaginer un seul instant cela. Mais voila, nous étions en France et il fallait bien s’adapter. S’adapter, s’adapter, notre maître mot à tous ….sauf à ma mère. C’est la France qui s’adapterait à elle ou sinon tant pis. Comme ni l’une ni l’autre ne firent le premier pas, elles vivront toutes les deux jusqu’à la fin, dans une totale ignorance l’une de l’autre.
20 commentaires:
Bonjour Patrick
Longtemps restée seule cette maison engloutie par les branchages et les ronces a su quand même garder la tête dégagée (cheminée) pour respirer et attendre des jours meilleurs, attendre que vous autres qui venaient du paysannat, lieu où les plants sont dorlotés et chouchoutés, puissiez lui venir en aide et lui assurer une reviviscence bien méritée.
Bonjour abdelmoumen
J’ai longtemps détesté cette maison, mes souvenirs de jeunesse y étaient trop douloureux,et c'est elle qui paya ma rage
Avec le temps elle est devenue une jolie maison de village, 20 ans de travail pour lui rendre son état premier de maison de maître
Depuis maintenant plusieurs années elle et moi sommes réconciliés, je lui amene des amis en vacances et semble heureuse de sa retraite
Amitiés
Patrick
Bonjour Patrick.
Ta dernière phrase est superbe comme le texte d,ailleurs en entier. Cette maman me fascine. Elle porte en elle cette authenticité des gens des montagnes. jamais une demi mesure, prendre le tout ou rien. Aucune complaisance, aucumne concession mais la fierté de demeurer entière quite à s,engouffrer dans la solitude et l,exclusion.Avec la France, elle a choisi de détourner la tête car elle a sentique " La conversation, cela n,existe pas. C,est une illusion. Il n y aque des des monologues qui s,entrecroisent".
Pour le petit Patrick cela doit être angoissant comme dirait Germaine Greer" Jamais la solitude n,est aussi cruelle que lorsqu'on la vit auprès de quelqu'un qui ne veut plus communiquer" Une maman qui decide de démisionner au sujet de l'integration et on a l,impression que sa solitude la rend terriblement insensible. ce qui n'est certainement pas le cas.
Finalement Patrick, je voudrais savoir si le frère a été occulté volontairement du récit et du voyage ou bien la voix de l'inconscient est impénétrable.
Salut et bonne continuation.
amitiès
majid
Bonjour Patrick,
arrivée dans une maison inhospitalière et embroussaillée est certes décevant, mais ne pose pas de gros problèmes: le père rude fellah, débroussaillerait, défricherait et planterait meme. Par contre, je trouve malhonnete et scandaleux le fait de s'enrichir sur le dos d'un concitoyen naif et honnete .
Le 3è point qui a attiré mon attention dans votre message est l'apathie de la mère : rester insensible devant tout ce qui pourrait susciter l'intéret du père pose un vrai problème pour le couple et automatiquement pour les enfants.
J'espère m'etre trompé sur ce dernier point.
Continuez à nous émeveiller par cette belle histoire.
Je suis allée dernièrement voir un film : cartouche gauloise, qui racontait un peu ton histoire, mais pas l'arrivée en France.
J'aime beaucoup voyager, connaitre les gens des pays dans lequel je vais, vivre et manger comme eux, mais je suis toujours très heureuse de rentrer chez moi, et cela doit être très dur de savoir que l'on ne pourra plus retourner dans le pays de son enfance. Tant que l'on n'a pas véçu cette situation, personne ne peut comprendre. Mais avec les voyages de maintenant tu as du retourner au Maroc je pense? J'y suis allée il y a 2 ans, l'on m'a invitée à boire un thé à la menthe dans un petit café de chez eux et j'ai beaucoup apprécié. Beaucoup de français prennent leur retraite là bas et j'aimerai y passer plusieurs mois par an, d'autres mois ailleurs...Je suis une "vadrouilleuse" comme me le dit ma maman.Merci d'être venu sur mon blog.
Bonjour Dr Mouhib
C’est avec félicite que j'ai lu votre commentaire, notamment le passage sur ma mère
Ce commentaire me plait car votre analyse est a l'opposée de Majid blal, et cela est captivant
Pour lui ma mère le fascine par sont intransigeance, et vous c'est sa totale insensibilité qui vous exaspère
Qui a raison ? les deux !
Ma mère n'a jamais laisser le gens indifférents c'était tout l'un ou tout l’autre, les deux extrêmes, on l'aimait ou on la détestait, et moi je naviguait au milieu de son caractère, et de paradoxe
Merci de votre passage
Amitiés
Patrick
Bonjour lyliane
Ce film "cartouche gauloise"est il récent? Cela me ferait bien plaisir de le voir
Tu as raison, les marocains dans leur grande généralité sont des gens fabuleux,et surtout généreux
Dans un épisode je disais d'eux" il ne savent conjuguer le verbe inviter qu'au présent"
Cela les résumes bien je crois
Merci de ton passage, le Maroc et surtout Midelt c'est en mai pour moi, la première fois que j'y retournerai depuis mon départ
Amitiés
Patrick
J'ai adoré lire cette "note", Patrick !
AHAHA ! Il vaut mieux ern rire comme toi
Le chapelet d'amabilités, la "poésie"
Le garçon marquant sa désaprobation les bras croisés !
Et la maison...
J'ai fait un message sur une telle maison je l'ai appelée "la maison sinistrée"
J'imaginais cependant que les gens avaient pu être heureux dans une telle maison
Je les adore ces demeures pathétiques
"Un petit coup de nettoyage" !
Ton père essaie de se convaincre lui-même...
Il essaie de faire de la psychologie avec vous.
Et puis cette idée que l'avenir est écrit, que tu ne peux recevoir de choses positives pdt longtemps...
Et bien ton message le dit pourtant : vous allez vous intégrer pour finir !
Sauf ta maman, qui est là, butée et tient front à la France, rien moins que ça ! Quelle femme !
Patrick, j'ai aimé ton commentaire sur les arbres plantés qui nous survivent. C'est ainsi que l'humanité s'est faite et qu'auj on ne le fait plus : au delà de consommer à court terme. Batir ou construire pour la descendance au delà de soi et de sa propre existence...
Ps : ainsi tu vas retourner au Maroc, je présume que tu parles encore bien l'arabe ?
Superbe épisode!
Le père qui veut que tout se passe bien pour sa famille, qui fait des efforts pour faire croire que pour lui tout va bien. Il était obligé de faire cela devant la maison alors que je pense qu'au fond de lui, il devait craindre par-dessus tous les remarques acerbes de sa femme. Comme cela a dû être un moment difficile après tous ceux déjà vécus. Dans chaque épisode transparaît le caractère accomodant du père qui veut aller de l'avant et celui plus intransigeant de la mère, forte, tellement forte qu'elle préfère rentrer dans le mur de la haine que de louvoyer pour faire croire qu'elle va être heureuse.
Bonjour cergie
Ma femme qui découvre mon histoire aussi au fur et a mesure m'a dit que c'était son épisode préféré en tant que lectrice, avec mêmes remarques que toi
Cette scène je m'en souviens parfaitement, il y a des détails même que je n'ai su exprimer et que je ne raconte pas
Oui je vais (inch-allah) au Maroc à Midelt et dans quelques lieus où j'ai passé mon enfance et cela normalement en mai 2008
Parler l'arabe. Je ne sais pas, je n'arrive plus à formuler une phrase simple, mais en même temps je me dis qu'une fois sur place, comme tous mes souvenirs cette langue presque maternelle reviendra, je le souhaite vraiment fortement
Je serai trop déçu si j'avais oublié cette partie entière de mon être
Merci de ton commentaire et de ton passage
PS au sujet des arbres mon père à 80 ans continuait a planté des arbres pour les petits fils
Amitiés
Patrick
Bonjour patrick.
Mon commentaire n,est en fait que la perception 9 subjective0 que je me fais de ton ecrit. Si mes propos t,ont chagriné je m,en excuse. Il n ya pas de volonté de heurter ta sensibilité. Désolé
Bonjour majid blal
Sois rassuré a aucun moment ton commentaire n'a manqué de sérénité, ni ne m'a choqué
Sans doute mes mots mal choisis te l'on fait penser mais il en est rien
J’attends toujours tes commentaires avec impatience ne change rien, je les aime tels qu'ils sont celui là comme les autres
Sois donc rassuré
Mes amitiés sincères
Patrick
Bonjour delphinium
Tu as vu très juste (comme d'habitude)
D’un coté un père accommodant du moins dans ce cas, car il ne l'a pas été toujours, mais je crois qu'il se sentais fautif de notre départ du Maroc
Et puis de l'autre une mère entière et peu enclin au pardon
En résumé ce sera leur vie durant les années a suivre et moi je naviguerai entre ces deux mondes
Amitiés
Patrick
Bonjour majid blal
Superbe commentaire et merci
(Je croyais avoir répondu déjà une première fois a ton commentaire, j’ai du faire une fausse manœuvre, puisqu’il n’apparaît pas)
Puis-je utiliser la phrase de germaine Greer dans mon texte, il résume parfaitement la situation ,il n'y a rien ajouté a cela
Pour mon frère il ne va pas tarder a arriver dans mon histoire, compte tenu de notre différence d'age(10 ans) nous n'avons pas beaucoup partagé la vie de frangin
Il va apparaître et ...........la suite bientôt
Amitiés, et merci de tes commentaires
Amitiés
Patrick
bonjour patrick
Belle citation! bien sur que tu peux l'ultiliser. Merci pour les explications. bonne continuation
Je ne sais plus quel chemin "sinueux" fait que je me retrouve chez toi?
J'aime ce que tu écris parce que le tout réveille en moi des souvenirs confus de rapatriés qui ont vécu chez mes parents avant de s'installer chez eux.
J'aime ces récits et je me garde bien de juger des sentiments uniques et authentiques pour chacun alors que tous vous avez vécu presque les mêmes doutes et les mêmes espoirs.
Bonjour lhuna
Merci de ton passage et de ton commentaire
Je suis aller sur ton blog, j’ai vu que tu parlais du blog "d'africantal' je sais qu'il est aller au Maroc, et je lui laisse des messages de temps a autres, sans doute es-ce la le liens qui t'a envoyé chez nous
je dis « nous » ,parce qu'il me semble que ce blog ne m'appartiens pas,je partage des souvenirs de gosse, avec des lecteurs devenus fidèles et qui commentent ,avec bonheur et souvent très judicieusement mes textes
Et c'est avec plaisir que nous t'accueillons et espérons te voir a nouveau parmi nous
Je me rends sur ton blog pour y passer un peu plus de temps
Amitiés
Patrick
Oui le film est récent il est sorti le moi dernier. Tu dois avoir hâte de retourner là bas tu y trouveras sûrement du changement.
hello !! quelques pb d'ordi ne m'ont pas permis d'^tre présent comme je le voudrai. Mais quand je ne viens pas sur une note je me rattrape les jours suivants donc pas de pb, je continue le parcours avec toi. J'm bien cette porte qui résiste et se laissera découvrir en s'ouvrant sur l'avenir. De cette maison faudra nous la montrer un jour ou une note plus tard ^^
Bien@twa
bonjour fr@n6
ton passage et tes commentaires sont les bien venus
c'est une idée pour la maison,je n'ai pas de photos du debut,sans doute une recente
amicalement
patrick
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