
Plusieurs épisode pour cette nouvelle
Quel héritage porte Marie Thérèse sur ses épaules ? Quel lourd fardeau lui écrase t’il la vie et son futur ?
Depuis maintenant 30 ans Marie Thérèse répétait les mêmes gestes, depuis son levé matinal jusqu'à son travail, le seul qu’elle ait connu, les gestes se répétaient, immuablement inexorablement, robotiquement, habituellement. Sans écart.
Le réveil sonne. Elle se lève enveloppée dans les brumes de ses rêves érotiques qui lui ont trop vites échappés,
La douche à pas lourd. Le déjeuné, toujours assise sur une fesse, sans un mot. Le café bien noir ne la réveille toujours pas, jamais d’ailleurs. Il lui fera mal à l’estomac tous a l’heure mais c’est comme cela ; il y a si longtemps qu’elle prend du café, qu’elle n’imagine pas en changer
Changer pour quoi ?
Elle enfile maladroitement la jupe d’hier, puise sur le dessus de la pile le chemisier qui l’attend. Accord des couleurs ? Pour qui ? Qui aujourd’hui se retourne sur son passage ? Le chat parfois s’il a faim ou quand il tente de la séduire pour un bol de croquettes.
Deux tours de clefs, la voiture. Elle arrive devant son bureau, en ne se souvenant même plus de sa route.
Le dimanche, il lui arrive de se retrouver devant son bureau, sans comprendre comment au carrefour elle n’a pas prit la direction de la boulangerie. Elle ne râle même pas, même plus, elle en a l’habitude.
Demi tour
- Bonjour Huguette
- Bonjour marie Thérèse comme toujours ?
La boulangère lui tend une baguette, pour une personne.
Au bureau Marie Thérèse, enlève son manteau,son foulard, et d’un geste mécanique allume son ordinateur
Il est prêt quand enfin elle s’assoit pour sa journée de 8h pile, pas une de plus, pas une de moins
La petite fenêtre s’ouvre, les mails de la nuit s’accumulent, la stressent ! Déjà ! Il est à peine 8h10. Le café lui « reproche »
Putain d’ordinateur, pense t’elle. A cause de lui, j’ai faillit perdre mon travail, il a fallut s’y mettre, et ces putains de mot anglais, window, Microsoft, et que sais-je encore. En patois encore ça irait !
Et ces petites jeune diplômées jusqu’aux seins quelles exhibent au patron. Elles ne guettent qu’une faiblesse pour me piquer mon poste, et m’envoyer en pre retraite dans l’antichambre de la mort. Parce que marie Thérèse ne sait pas ce qu’elle fera à la retraite, mourir sans doute.
Et les mails défilent, encore et encore……….
Quand soudain l’un d’entre eux, attira son attention.
« Attention ! Marie Thérèse, Il y à une attaque de virus très grave, et c’est un nouveau, préviens tout le monde très rapidement,» signé marie Louise »
Quel héritage porte Marie Thérèse sur ses épaules ? Quel lourd fardeau lui écrase t’il la vie et son futur ?
Depuis maintenant 30 ans Marie Thérèse répétait les mêmes gestes, depuis son levé matinal jusqu'à son travail, le seul qu’elle ait connu, les gestes se répétaient, immuablement inexorablement, robotiquement, habituellement. Sans écart.
Le réveil sonne. Elle se lève enveloppée dans les brumes de ses rêves érotiques qui lui ont trop vites échappés,
La douche à pas lourd. Le déjeuné, toujours assise sur une fesse, sans un mot. Le café bien noir ne la réveille toujours pas, jamais d’ailleurs. Il lui fera mal à l’estomac tous a l’heure mais c’est comme cela ; il y a si longtemps qu’elle prend du café, qu’elle n’imagine pas en changer
Changer pour quoi ?
Elle enfile maladroitement la jupe d’hier, puise sur le dessus de la pile le chemisier qui l’attend. Accord des couleurs ? Pour qui ? Qui aujourd’hui se retourne sur son passage ? Le chat parfois s’il a faim ou quand il tente de la séduire pour un bol de croquettes.
Deux tours de clefs, la voiture. Elle arrive devant son bureau, en ne se souvenant même plus de sa route.
Le dimanche, il lui arrive de se retrouver devant son bureau, sans comprendre comment au carrefour elle n’a pas prit la direction de la boulangerie. Elle ne râle même pas, même plus, elle en a l’habitude.
Demi tour
- Bonjour Huguette
- Bonjour marie Thérèse comme toujours ?
La boulangère lui tend une baguette, pour une personne.
Au bureau Marie Thérèse, enlève son manteau,son foulard, et d’un geste mécanique allume son ordinateur
Il est prêt quand enfin elle s’assoit pour sa journée de 8h pile, pas une de plus, pas une de moins
La petite fenêtre s’ouvre, les mails de la nuit s’accumulent, la stressent ! Déjà ! Il est à peine 8h10. Le café lui « reproche »
Putain d’ordinateur, pense t’elle. A cause de lui, j’ai faillit perdre mon travail, il a fallut s’y mettre, et ces putains de mot anglais, window, Microsoft, et que sais-je encore. En patois encore ça irait !
Et ces petites jeune diplômées jusqu’aux seins quelles exhibent au patron. Elles ne guettent qu’une faiblesse pour me piquer mon poste, et m’envoyer en pre retraite dans l’antichambre de la mort. Parce que marie Thérèse ne sait pas ce qu’elle fera à la retraite, mourir sans doute.
Et les mails défilent, encore et encore……….
Quand soudain l’un d’entre eux, attira son attention.
« Attention ! Marie Thérèse, Il y à une attaque de virus très grave, et c’est un nouveau, préviens tout le monde très rapidement,» signé marie Louise »